J’ai visité Hantevlle-House en 1952, délégué par Aragon et le Comité du 150ème anniversdaire de la naissance de V.H. je’y suis retourné en 1979 avec
Eliane, Ella et Rouben Mélik. La maison, superbe, a été blanchie comme u mausolée. Hugo travaillait en plein ciel, face à l’océan, son vieux copain d’écriture. Ce que tu es en dis est beau, juste, touchant. Pour moi, sa voix de vague et de tempête vit toujours et balaie la poésie d’aujourd’hui comme un cyclone de mémoire. Charles Dobzynski, la veille de mon départ pour Villeneuve Loubet où nous allons passer deux semaines.
Ah! quelle audace insensée d’aller
Ainsi défier une houle aux creux si profonds
Même si Hugo Victor de son prénom…
Même si l’homme libre chérit la mer…
Toujours gardez présent en vous que
Ce n’est pas l’homme qui prend la mer
C’est la mer qui prend l’homme…
Merci pour ce bol d’air frais qui ouvre toute les fenêtres (fermées), certains jours sombres car le soleil reprendra toute sa place et la poésie aussi.
J’ai visité Hantevlle-House en 1952, délégué par Aragon et le Comité du 150ème anniversdaire de la naissance de V.H. je’y suis retourné en 1979 avec
Eliane, Ella et Rouben Mélik. La maison, superbe, a été blanchie comme u mausolée. Hugo travaillait en plein ciel, face à l’océan, son vieux copain d’écriture. Ce que tu es en dis est beau, juste, touchant. Pour moi, sa voix de vague et de tempête vit toujours et balaie la poésie d’aujourd’hui comme un cyclone de mémoire. Charles Dobzynski, la veille de mon départ pour Villeneuve Loubet où nous allons passer deux semaines.
Ah! quelle audace insensée d’aller
Ainsi défier une houle aux creux si profonds
Même si Hugo Victor de son prénom…
Même si l’homme libre chérit la mer…
Toujours gardez présent en vous que
Ce n’est pas l’homme qui prend la mer
C’est la mer qui prend l’homme…
Bien fraternellement
On ne devrait pas lire le journal pendant les vacances, heureusement tes agapanthes viennent brouiller leurs lignes.
bises à toi et Patricia
Catherine
Merci pour ce bol d’air frais qui ouvre toute les fenêtres (fermées), certains jours sombres car le soleil reprendra toute sa place et la poésie aussi.
Grand merci, cher Francis, pour cette bouffée d’iode au parfum d’absinthe et d’agapanthe rappelant à l’humanité son devoir d’agapè.
J-L L
Désolé Charles, mais ton message était en indésirable et je viens de le voir. Aussi je le publie avec retard.