Oui, je l’avoue,
j’en ai assez
(souvent)
d’écrire des poèmes contre la guerre,
le racisme,
l’exploitation,
l’injustice,
la destruction des hommes
et de la nature…
Je voudrais n’avoir à écrire
que sur les sujets
qui le méritent vraiment :
les femmes,
les enfants,
les fleurs,
les oiseaux…
Alors,
s’il vous plaît,
mes amis,
rendez-moi un petit service :
Débarrassez-nous
du capitalisme.
ça va demander du temps.
Je n’y manquerai pas, surtout si ça te fait plaisir
Merci à toi
le merle qui accompagne en duo mes insomnies est d’accord aussi
merci Francis
Moi qui pensais que tu allais parler de ce petit oiseau et arrêter d’écrire sur la misère, l’exploitation….Eh bien non monsieur sattaque directement au capitalisme et ses méfaits… comment dire ? Chassez le naturel il revient au galop!
Il faut en effet, cher Francis, tout faire pour balayer ce système économique et politique inique et absurde, qui détruit tout ce qui vaut la peine, comme tu le dis très bien, de vivre. Kazantzaki disait : « les femmes, les fruits, et les idées ». J’espère qu’un nouveau mai 68 se prépare, et qu’on pourra enfin vivre pour de bon.
A toi, l’amitié.
Laurent
Vous faites de si belles poésies grâce au capitalisme (la possibilité de vous nourrir, votre stylo, vos outils de travail, internet…).
Ce n’est pas grâce au capitalisme mais grâce au travail des hommes et des femmes que le capitalisme exploite.