Francis Combes
Francis Combes est né le 31 mai 1953, à Marvejols, en Lozère. Après une enfance cévenole, il est venu s’installer avec sa famille (ses parents enseignants et ses deux frères) dans la banlieue parisienne, à Aubervilliers. C’est là qu’il vit aujourd’hui, avec sa femme, la journaliste Patricia Latour.
Il a quatre enfants et quatre petits enfants (du moins, pour l’instant…)
Il est diplômé de Sciences Po et a fait des études de langues orientales.
Il a été l’un des responsables de la revue Europe et, de 1981 à 1992, directeur littéraire des éditions Messidor.
En 1993, avec un collectif d’écrivains, il a fondé les éditions Le Temps des Cerises, dont il est le directeur.
Engagé dans la défense de l’édition indépendante, il est l’un des fondateurs de l’Association L’Autre Livre dont il assume actuellement la présidence.
Poète, il a publié une quinzaine de recueils. Ainsi que des anthologies et quelques ouvrages de proses.
Certains de ses poèmes ont été traduits dans diverses langues (arabe, anglais, allemand, italien, tchèque, portugais…)
Pendant quinze ans, il a été, avec le poète Gérard Cartier, à l’initiative de la campagne d’affichages poétiques dans le métro parisien, campagne malheureusement suspendue pour le moment par la direction de la RATP.
Il a travaillé avec des musiciens (notamment le compositeur chilien Sergio Ortega) et écrit des chansons et des livrets d’opéra ou de pièces musicales qui ont été portés à la scène.
Il a traduit en français Maïakovski, Heine, Brecht, Attila Joszef, des poètes américains comme Eliot Katz ou Jack Hirschman. Et adapté des poètes de différents pays (tchèques, espagnols, persans…)
Engagé dans la vie sociale et politique, il a aussi une activité de journaliste, de critique et d’essayiste.
Il participe fréquemment à des lectures et est invité dans différents festivals (Lodève, Trois Rivières au Québec, San Francisco, Ramallah et Naplouse en Palestine, Sarajevo…)
Bonjour, je suis en train d’écouter l’émission « ça rime à quoi »; il est 6h54. se réveiller, ou s’endormir avec de la poésie fait partie de mon quotidien, je suis poète,(ou plutôt je n’ai d’autre souhait que d’écrire de la poésie), je suis aussi, (voir le site) fondateur et animateur de l »association « Mots Passants ». Nous publions depuis le début de cette année tous les jours un poème différent, d’une ou d’un poète différent. j’aime votre texte sur l’abeille (archives janvier 2012) et j’aimerais le publier, en l’agrémentant d’une notule de présentation et d’une photo, et je souhaite savoir si vous m’y autorisez. merci de votre réponse, et bonnes journées en poésie.
très cordialement,
jean Gelbseiden
J’ai écouté « à quoi ça rime » ce matin. Un vrai bonheur. Mardi je me précipite chez le libraire.
Bonne continuation
J.F Chamoton à Mâcon
Bonjour. Je ne vous connaissais pas, et vous ai entendu ce matin sur France-Culture, dans « Ca rime à quoi ». Plaisir de ce petit poème sur la rivière. Il m’a évoqué exactement ce dont vous avez parlé: une petite rivière dans la Vallée française (cependant vous n’avez pas précisé la vallée: chacun sa vallée mentale?). Je fréquente assidûment le coin depuis une quarantaine d’années bientôt…
Merci donc.
Jocelyn Dupré
Ce matin comme pratiquement tous les dimanche j’ai été réveillé très tôt ( 05 h 30) par un gros choc : le camion de la ville qui décroche la poubelle murale. Quel bonheur d’écouter de la poésie pour entamer sa journée et oublier sa rancune envers des règlements idiots et ceux qui les ont pondus ! Merci Francis, je dirai un mot de vous à notre prochaine soirée de lectures ce vendredi
Michel Roussille
c’était une une émission bien sympathique , très fraiche .Je n’ai jamais lu vos poèmes et c’était une belle entrée en matière .
Merci à vous.
AG
Très belle émission avec Sophie Nauleau. C »est d’ailleurs là que j’ai appris l’existence de ce blog d’utilité publique. Aussi joli que nécessaire…
J’espère que je pourrai trouver votre livre ici au Québec car votre entrevue m’a donné envie de vous lire.
Petite remarque froidement technique: Avec Google, il faut entrer l’adresse suivante pour s’abonner au « feed » de votre blog:
http://franciscombes.unblog.fr/feed/
L’adresse donnée en cliquant « Feed » au bas de votre blogue ne fonctionne pas.
Au plaisir de vous revoir au Québec.
François Delorme
« le vin des hirondelles » est arrivé hier à Mâcon. Nous avons passés de réjouissantes minutes à en lire des passages, le libraire et moi.Les dessins de Marc Bergère sont magnifiques. Ce beau livre bien imprimé sur du beau papier devrait être remboursé par la Sécurité sociale au titre de la prévention contre la morosité. J’attends « aubépine » qui ne devrait pas tarder. Je vous souhaite large soif.
J.F Chamoton à Mâcon
Cher Monsieur,
J’utilise votre blog pour vous dire mon accord avec les termes de la lettre que vous avez adressée à François Hollande et avec le discours que vous avez tenu hier (le 8 décembre 2012) lors de la table ronde organisée par la Maison des écrivains. C’est le seul de la matinée qui m’ait semblé ouvrir une fenêtre dans un débat interne aux poètes, qui comme trop souvent semblaient oublier que ce qui est en cause aujourd’hui, c’est leur capacité à s’adresser à un autre public qu’eux-mêmes.
On ne peut défendre la place de la poésie dans notre société en faisant l’économie d’une réflexion sur les conceptions et les pratiques qui ont contribué à détourner des lecteurs qui désireraient trouver en elle un écho à leur expérience et non une expérimentation qui ne s’adresse qu’à un cercle d’initiés.
C’est la position que vous défendez depuis longtemps et que j’essaie à ma façon de défendre à l’université, – car quoi qu’en ait dit l’universitaire Jacques Darras, elle reste un des rares lieux où l’on forme de futurs lecteurs de poésie : c’est ce qui rend plus scandaleuse encore l’attitude du ministère de l’Education nationale.
J’ai particulIèrement apprécié votre référence à un poète qui m’est cher, Pierre Reverdy et l’accent que vous faites porter sur la dimension sensible de la poésie.
J’espère avoir un jour le plaisir de discuter de tout cela avec vous.
Michel Collot
Bonsoir,
On s’est rencontré à la fête du livre de Lautrec dans le Tarn il y a à peu près deux ou trois ans. Vous m’avez gentiment dédicacé votre livre « La romance de Marc et Leila » que j’ai beaucoup aimé et partagé avec beaucoup de personnes de mon entourage! J’espère que vous lirez ce message car je vois que les derniers messages sont assez anciens! J’anime depuis quelques années des ateliers d’écriture avec des enfants et des jeunes collégiens et j’aimerais monter avec vous un projet. Merci de me contacter dès que possible. Au plaisir de vous lire. Cordialement
Leslie
Cher viel ami et camarade. Je reprends contact avec toi. Amitiés. J’ai appris la mort le Jack Ralite et ca m’a beaucoup attristé. Je suis pour le moment hospitalisé pour ma maladie de Parkinson. Mon tel: 0682982491
Bonjour, je suis assistante sociale et j’ai animé des ateliers d’écriture auprès d’un petit groupe, public adulte en démarches socio-professionnelles. Lors du dernier atelier, nous avons écrit des poèmes à partir de deux des vôtres, que j’ai pioché dans votre livre « si les symptômes persistent, consultez un poète ». Je suis en train de finaliser le carnet issu de cet atelier, et cela me ferait plaisir de pouvoir vous en envoyer un, mais où ?
Cordialement
Isabelle
Bonjour Isabelle,
Evidemment, je serais très heureux de recevoir ce cahier. Vous pouvez m’écrire à : Francis Combes, résidence Mandela, 115, rue André Karman, 93300 Aubervilliers. Amicalement
Francis
Cher poète,
Notre président, Albert Salon, souhaite vous faire parvenir une invitation à entrer au Haut conseil du Comité National de Résistance francophone, créé cette année à l’initiative d’associations de défense de la langue française et de la Francophonie.
Si vous me communiquiez une adresse électronique, je vous transmettrai sans tarder l’invitation et la liste des personnalités sollicitées, ainsi que celles qui ont désormais accepté l’invitation. Bien cordialement, Chrystel Guène 0659747282